Daniëlle
SR. Project Engineer

« Nous devons apprécier ce que nous pouvons créer nous-mêmes, ainsi que la satisfaction que cela procure. »
  • Nom : Daniëlle van Kuijk-Bakx
  • Âge : 44 
  • Etudes : Électronique d’automatisation (Lycée technique d’Eindhoven, devenu Summa College), diplômes d’expert en projection d’installations d’alarme incendie et d’installations d’évacuation & Junior Engineer Techniques de sprinkler 
  • Fonction : Senior Project Engineer
  • Loisirs : Dessin, peinture et bricolage

Daniëlle, 44 ans, travaille comme Senior Project Engineer chez Cegelec, où elle conçoit des installations d’alarme incendie et se charge de la signalisation d’installations de sprinklers. Ses principales tâches consistent à élaborer les documents de conception et les dessins de projection. Une fois l’installation livrée, elle vérifie également le fonctionnement des équipements et des logiciels sur site, chez le client.

D’où vient votre amour de la technique ?

Daniëlle : Dès mon plus jeune âge, j’ai ressenti une affinité avec le secteur technique. Mon père aimait l’électronique, il m’a par exemple appris à souder à l’âge de huit ans. La technique m’a donc été inculquée très tôt. Lorsque j’ai terminé l’école primaire, on conseillait généralement d’opter pour des études générales. Mais moi, je voulais absolument aller dans une école technique. Heureusement, mes parents m’ont soutenue dans cette voie. Ils m’ont toujours laissé la liberté de suivre mes aspirations. C’est merveilleux pour un enfant de ressentir ce soutien permanent.

Pourquoi avoir choisi un job dans la sécurité incendie ? 

Daniëlle : Le feu est un phénomène insaisissable qui peut être source de danger. C’est pourquoi j’éprouve une immense satisfaction à être celle qui peut rendre un environnement aussi sûr que possible, en détectant les dangers et en veillant à ce que les gens soient alertés à temps pour pouvoir évacuer rapidement et en toute sécurité. Ma priorité est toujours d’assurer la sécurité d’autrui. J’ai découvert VINCI Energies dans le cadre de mon ancien job, à l’occasion de différents projets menés en collaboration. C’est l’approche particulière de l’entreprise qui a suscité mon intérêt : elle ne propose pas d’installations standards, mais des installations industrielles sur mesure, spécifiquement adaptées aux besoins du client. J’ai donc toujours la possibilité de créer quelque chose de spécifique et de relever des défis passionnants en matière de conception.

Que faut-il faire, selon vous, pour attirer davantage de femmes dans le secteur technique ?

Daniëlle : Comme je ne vis pas en Belgique, je parle d’un point de vue néerlandais. Selon la perception sociale dominante, les filles ne sont pas faites pour les métiers techniques et, parallèlement, on dissuade les garçons de faire carrière, par exemple, dans les soins de santé. De plus, les études techniques sont souvent peu valorisées. Il importe qu’en tant que société, nous nous efforcions activement de changer cet état d’esprit. Nous devons apprécier ce que nous pouvons créer nous-mêmes, ainsi que la satisfaction que cela procure. Cette campagne est certainement un pas dans la bonne direction. Par ailleurs, VINCI Energies ne fait délibérément aucune distinction entre hommes et femmes, même de manière générale. L’absence de telles distinctions est aussi importante que l’adoption d’actions proactives, car créer un espace inclusif signifie à la fois participer activement aux initiatives et empêcher que les préjugés de genre ne se perpétuent.

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